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LES ELUS - "Agir pour le Pontet"

- Caroline GRELET - JOLY -  

- Eric MORAN -

Quand il s’agit de l’intérêt général et a fortiori de celui de la jeunesse, les élus « Les Républicains » répondent présents aux sollicitations des communes et des clubs de sports.

Grâce à la contribution de la Région ( 50 000 euro) et à celle du Département ( 80 000 euro), le stade Saint Louis va pouvoir bénéficier d’une nouvelle pelouse synthétique et  pourra ainsi retrouver ses homologations de la part de la ligue de football.

A noter que les financements portés par la Région et le Département sont largement supérieurs au montant versé par la Commune. Sans leur contribution la municipalité n’était pas en capacité de réaliser cet investissement !

En conseil municipal, le maire FN a souvent voulu stigmatiser la Région  sur le versement de cette subvention en insinuant que la politique régionale était une politique partisane.

Les responsables LR locaux, caroline Grelet Joly, Stéphanie Parry mais aussi le sénateur Milon ont plaidé en faveur de cette subvention au nom de l’intérêt de cet équipement pour de nombreux jeunes pontétiens et ils ont été entendus.

Preuve s’il en est que l’efficacité ne se mesure pas au bruit que l’on fait mais au résultat que l’on obtient.

Au nom des Pontétiennes et des Pontétiens, des jeunes footballeurs et de leurs parents, un grand Merci à la Région et au Département.

Bulletin Municipal - Mai 2016 -

Le diable se cache dans les détails
Lors du dernier conseil municipal, le maire a présenté un rapport a priori technique : une simple diminution du droit d’expression des élus de l’opposition.


En ces temps où les soucis quotidiens n’épargnent personne, quelle importance de réduire cet espace.
Ce qui est dangereux, c’est l’absence de critères objectifs pour changer la règle qui s’appliquait depuis plusieurs années et qui avait été votée au conseil de décembre, soit 3 mois avant...
Preuve de l’inconstance d’un exécutif qui n’est que dans la réaction, jamais dans l’anticipation. Or gouverner, c’est prévoir.


Cette incapacité à prévoir se retrouve dans toutes les décisions, aucun projet pour les années à venir.
Le 1er budget présenté par la municipalité, après 2 ans, exprime cette absence de projection.
Autre caractéristique de la gouvernance actuelle : le rejet de la responsabilité.


Et oui, c’est toujours la faute des autres : l’héritage, l’Etat, les partenaires, les agents ; tout ce qui ne va pas c’est les autres. Or, gouverner c’est assumer.


Sans projet, sans argument, on est uniquement dans le jugement de valeur et l’arbitraire.


Culte de la personnalité (dans la revue précédente, le maire est cité 31 fois et 18 fois en photos sur 22 pages !) et propagande complètent le fonctionnement. Aucun superlatif n’est assez important pour parler de soi, pour se représenter en homme providentiel : Dérive pernicieuse et dangereuse d’une personnalisation à outrance d’un pouvoir qui n’est pas s’en rappeler les heures sombres de nombreuses périodes de l’Histoire mondiale.
Nous connaissons déjà le ton de la réponse, le dénigrement, le rabaissement pour jeter le discrédit.


Absolutisme, intégrisme, extrémisme : des noms différents pour une même volonté : Empêcher l’Autre d’exister et de s’exprimer. Tel est le sens de la décision de diminuer l’espace d’expression de l’opposition.


Eric Moran / Caroline Grelet Joly


« Agir pour le Pontet » 07 68 55 93 84

Lors de la séance du conseil municipal du 24 mars dernier, le maire a présenté le budget 2016. Le 1er élaboré par cette équipe municipale qui est pourtant en place depuis 2014 !

 

Hélas ! Un budget sans ambition, sans préparation de l’avenir : une gestion à la petite semaine qui n’est pas à la hauteur des difficultés auxquelles les Pontétiennes et les Pontétiens sont confrontés.

Ce budget est un budget qui se dégrade : les dépenses augmentent tandis que les recettes baissent.

Les comptes de notre collectivité qui étaient déjà particulièrement fragiles budgétairement parlant se dégradent encore.

 

Rétablir l’Épargne de notre collectivité aurait dû être LA priorité et la chose était à portée.

En effet, au lieu de financer l’épargne nette, le choix a été d’augmenter de près de 1 M€ soit de plus de 3,5% les dépenses réelles de fonctionnement. Ce choix est celui d’aggraver notre situation.

Or, dans l’avis rendu l’an passé, les magistrats de la Chambre régionale des comptes rappelaient que « le rétablissement de la situation financière de la commune passe nécessairement par une réduction forte et rapide de ses dépenses ;

 

Augmentation des dépenses de fonctionnement mais un programme d’investissement particulièrement modique !

Un taux d’investissement des plus bas à 94 € par habitant lorsque la strate est à 321 €.

Et encore, malgré ce faible taux d’investissement, en 2015, seul 53% du budget d’investissement a été dépensé !

Moins d’autofinancement, non consommation des crédits : ce n’est pas un signe de bonne gestion

L’autofinancement est encore réduit ; ce faisant la part pour les investissements nécessaires aux habitants et aux services publics est encore réduite…

Les dépenses de fonctionnement s’envolent : + 861 332 euros !

Ces dépenses augmentent de manière incroyable + 20% pour les charges à caractère général.

Quelques exemples :

- les fournitures de petit équipement dont le montant est multiplié par 10

- le Contrat de prestation de service augmente de 26 %

- Les primes d’assurance augmentent de 29 %

- Le compte glorieusement appelé « Divers » passe de 10 000 € à 130 000 € en 2016. ! En période budgétaire tendu, voilà une manne bien secrètement dissimulée. Aucune réponse sur ce que le maire entend mettre dans cette rubrique. Pourquoi ?

Or, pour rappel voici ce que préconisait la CRC :

 

- «CONSIDERANT que l’importante réduction des dépenses exigée par sa situation financière impose à la collectivité d’utiliser au maximum les marges de manoeuvre dont elle dispose sur certains postes ; qu’il en va notamment ainsi des crédits relatifs aux articles 60632 (fournitures de petit équipement) et 60633 (fournitures de voirie), sur lesquels ne devraient être engagées que des dépenses nécessitées par des motifs de sécurité ; qu’il en va également ainsi de ceux relevant de l’article 6228 (divers), qu’il convient désormais d’utiliser pour le financement d’opérations strictement liées au bon fonctionnement du service public, telles que les analyses de la qualité des eaux de la piscine municipale, à l’exclusion de celles qui, quelle que soit leur utilité, n’ont pas de rapport direct avec cette exigence et excèdent les moyens d’une collectivité en grave difficulté financière ; … »

 

- Alors que les recommandations de la CRC pour supprimer la prime aux agents ont été suivies scrupuleusement, ce même avis est loin d’être suivi de la même façon quant à ces dépenses, c’est le moins que l’on puisse dire !!!

Dans les 2 cas, ce n’était qu’un avis : mais 2 poids 2 mesures ; Pourquoi ?

Un budget social lourdement amputé :

Le budget du CCAS passe de 1 877 000 € à 1 490 000 € soit – 20,6%.

Auquel il convient de rajouter la mise à disposition de personnel facturée au CCAS qui passe de 27000 € en 2015 à 92000 € en 2016.

Donc entre la baisse de subvention et l’augmentation de remboursement, le CCAS a un manque à gagner de 452 000 euros.

Sans compter les agents enlevés au CCAS pour être affectés dans d’autres services.

Le social ne figure vraiment pas au nombre des priorités de la municipalité FN !

 

Après 2 ans de réflexion, on pouvait s’attendre à un budget porteur d’un projet pour Le Pontet et ses habitants.

Au lieu de ça, le maire FN et son équipe ont préparé un budget sans ambition ni prudence, ni sagesse non plus !

Un budget qui délaisse une partie de la population, celle qui est la plus fragilisée. Un budget qui ne permet pas de préparer l’avenir !

 

Ni solution pour le présent, ni projet pour l’avenir, il ne reste, a priori, aux pontétiens que la nostalgie de l’âge d’or quand Régis Deroudilhe était maire et que Le Pontet, plus riche commune du département, était enviée.…

En ce qui nous concerne, malgré les difficultés, nous refusons la résignation, le renoncement, le déclin !

 

Si vous aussi vous croyez aux capacités du Pontet et de ses habitants, si vous partagez notre volonté de construire, rejoignez-nous !

Dimanche 24 avril 2016

Jour de souvenir des victimes de la déportation.

 

Par notre présence à cette commémoration, nous avons voulu rendre hommage à toutes les victimes des camps mais aussi marquer combien cette cérémonie du souvenir devait nous inciter à réfléchir sur l’évolution actuelle du monde.

 

Consacrer un peu de son temps en assistant à cette cérémonie est le moins que l’on puisse faire pour honorer la mémoire de toutes ces victimes de la barbarie :  6 millions de morts en déportation mais combien de familles décimées ou meurtries à jamais. Et même les survivants de ces camps de la mort sont revenus marqués à jamais dans leur chair et dans leur être. Comment surmonter l’indicible ? comment vivre après avoir connu l’enfer ? Comment parler de l’ignominie mais aussi de la solidarité qui a permis de tenir et de ne pas perdre confiance en l’Homme ?...

 

Mais cette journée est l’occasion aussi de réfléchir au monde dans lequel nous vivons, à la montée progressive des nationalismes politiques et de l’intégrisme religieux.

 

Nous qui vivons à côté d’une ville entourée de remparts, nous savons qu’aucune forteresse, aucune enceinte, aucun mur, aucune frontière n’est infranchissable et ne peut assurer une protection efficace contre l’assaillant quel qu’il soit.

 

Le repli fondé sur la peur est une attitude naturelle de défense mais qui au final est génératrice de tensions et de conflits : le remède s’avère alors être pire que le mal.

 

Le danger terroriste qui menace nos démocraties nous impose de défendre avec force et conviction les valeurs républicaines qui sont les nôtres.

 

Rendre hommage aux victimes des camps c’est refuser le renoncement. Caroline GRELET-JOLY

Bulletin Municipal - Mars 2016 -

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