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Les républicains se mobilisent contre la desertification du centre-ville d'Avignon

 

C’est quoi une ville apaisée ? … Une ville musée ?  

 

Si globalement, la désaffection du commerce de centre-ville s’accélère en France (taux de vacances : 9.5% en 2015 alors qu’en 2001, il était inférieur à 5%), on note des variations importantes en fonction des villes.

D’après la Fédération du commerce spécialisé (PROCOS), seules 15 villes résistent mais certainement pas AVIGNON dont les commerces de proximité ferment à la vitesse grand V dans l’intra-muros au point que même les grandes enseignes de la Rue de la République sont désormais menacées !

 

Comment s’en étonner lorsque les zones piétonnes prolifèrent, que les sens interdits se multiplient, que les places de stationnement de surface disparaissent les unes après les autres ?!

 

En trente années de suivi de la dégradation du commerce de proximité dans l’intra-muros, j’ai acquis la conviction que l’on ne pouvait réussir à stabiliser ce processus qu’à 2 conditions essentielles :

 

  • La 1ère, c’est une implication politique volontariste, du maire si possible, qui doit être impliquée personnellement pour la dynamisation de son centre-ville et y travailler en permanence. La suppression du marché de Noël est le type même de ce qu’il ne faut pas faire. A l’opposé et, à titre d’information, Valérie PECRESSE va débloquer une enveloppe de 3 millions d’euros pour venir en aide aux magasins sinistrés des centres- villes de son territoire.

  •  

  • La 2nde c’est trouver le juste équilibre entre l’accessibilité du centre-ville aux véhicules et la place réservée aux piétons et aux vélos. Supprimer progressivement l’accès de l’intra-muros aux véhicules est une erreur monumentale. Si, dans les années 80, nous avions investi sur la percée Favart c’était pour rétablir une liaison Est/Ouest à double sens dans l’intra-muros. De même, la suppression d’une voie de circulation sur le Pont Daladier procède de la même volonté de réduire l’accès du centre-ville.

 

Vouloir une « ville apaisée » pour reprendre le terme utilisé par la majorité municipale actuelle c’est aboutir progressivement à une ville « musée », sans commerces, sans professions libérales … et, encore plus grave, avec de moins en moins d’habitants car les domiciles du centre-ville doivent, eux aussi, avoir une bonne accessibilité pour leurs occupants, mais aussi tout simplement pour décharger.

 

En effet, pour des raisons de confort liées, le plus souvent à l’accessibilité, les classes aisées n’habitent plus le centre-ville. On assiste depuis quelques années à un déménagement urbain, un étalement qui profite aux zones périphériques et, par voie de conséquence, une lente mais irréversible paupérisation de l’intra-muros.

 

En conséquence, mettre des bornes – rue des 3 Faucons – rendre la rue du Laboureur entièrement piétonne, supprimer 24 places de parking – place Saint Didier sont donc encore, autant de mesures qui vont encore « plomber » le commerce de proximité de l’intra-muros y compris l’activité économique des Halles qui ne seront plus accessibles par le Sud des remparts.

 

La piétonisation en marche avec neutralisation du stationnement est donc une erreur politique majeure que les exécutifs qui suivront à l’Hôtel de Ville auront bien du mal à rectifier !

 

Une nouvelle fois, les grandes surfaces et les zones d’activité seront les grands gagnants avec leurs immenses parkings gratuits au détriment de l’activité commerciale et économique d’un centre-ville d’Avignon qui se meurt à petit feu !

Les républicains interrogent Najat Vallaud-belkacem - ministre de l'education national, de l'enseignement superieur et de la recherche sur la video publiée par paris match et intitulée "les enfants à l'ecole de l'islam"

 

Retrouvez l'intégralité de la vidéo "les enfants à l'école de l'islam" en cliquant sur ce lien

 

Monsieur le Président,

Mesdames et Messieurs les Ministres,

Mers chers collègues,

 

Ma question s’adresse au Ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche

 

Très récemment, un magazine national, très connu, a mis en ligne, sur internet, une vidéo titrée « les enfants à l’école de l’islam » tournée dans une salle municipale d’Avignon.

 

Apparemment, cette salle municipale a été mise à disposition, par la Mairie d’Avignon, dans le cadre du dispositif des enseignements de langue et culture d’origine (ELCO). Ce dispositif prend appui sur une directive européenne 77/486/CEE du Conseil, du 25 juillet 1977, visant à la scolarisation des enfants des travailleurs migrants. Il a été mis en œuvre sur la base d’accords bilatéraux entre la France et plusieurs états de l’Union Européenne, du Maghreb et du Moyen-Orient. Dispensé à partir du cours élémentaire par des enseignants recrutés, formés et rémunérés par leurs gouvernements respectifs, ce dispositif vient en complément de l’enseignement normal, notamment sur un créneau dévolu théoriquement aux temps d’activités périscolaires.

 

L’objectif de ce dispositif, à l’origine, était de favoriser le retour au pays des enfants d’immigrés.

 

Cependant, cet enseignement, tel qu’il est pratiqué aujourd’hui détourne l’esprit de la loi dès lors qu’il s’adresse à des enfants de 2ème ou 3ème génération qui n’ont pas pour objectif – bien sûr - de retourner dans leur pays d’origine.

 

Et, force est de constater, avec l’appui de cette vidéo – largement diffusée - qu’aujourd’hui, ce dispositif n’offre pas les garanties suffisantes sur ces contenus pédagogiques et favorise le communautarisme. Alors, qu’en cette période que nous traversons, il conviendrait, plus que jamais de promouvoir et garantir l’intégration de ces enfants.

 

Alors, Madame la Ministre, à l’heure où, nous devons plus que jamais être vigilant et crier notre attachement au principe de laïcité afin de préserver l’ordre républicain et de garantir la compatibilité de l’islam avec la République, quelles mesures comptez-vous prendre pour réviser, au plus tôt ce dispositif qui de toute de toute évidence a été détourné de sa fonction d’origine ?

 

Les républicains se MOBILISENT pour nos produteurs de cerises

 

Nous avons assisté, il y a quelques jours, à une scène surréaliste : une trentaine d’agriculteurs, tronçonneuses au point – ont coupé plus de 300 cerisiers – pour montrer, si besoin en était, la situation de détresse dans laquelle se trouvent nos producteurs de cerise.

 

En effet, le diméthoate, insecticide organophosphoré, déjà interdit pour la plupart des productions mais encore autorisé pour les cerises, a été retiré du marché, le 1er février par l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire (ANSES). Cette dernière pointant des risques inacceptables pour le consommateur, les cultivateurs ainsi que pour les oiseaux et les mammifères.

Face à cette interdiction, nos producteurs de cerises se retrouvent, du jour au lendemain, démunis face à la drosophile suzukii, un moucheron invasif apparu en France en 2010 qui a la particularité de s’attaquer aux fruits en train d’arriver à maturité.

Ce moucheron de 2 mm qui se reproduit à une vitesse fulgurante est capable de détruire un verger dans sa totalité.

Face à l’interdiction du seul produit efficace contre cette drosophile, les producteurs de cerises ont, pour seul choix, d’utiliser d’autres molécules chimiques comme les spinosines ou le cyantraniliprole (produits 8 à 10 fois plus chers) ou équiper leur verger de filets anti-insectes (20 à 30 000 euros / hectare).

Ces alternatives ne sont pas envisageables à court terme, il est donc impératif d’accorder aux producteurs de cerises une dérogation, le temps de pouvoir traiter les cerisiers au diméthoate fin avril – début mai avant que les cerises commencent à rougir.

 

Cette mesure pourrait être transitoire, pour cette année, afin de sauver la production de cerises 2016 et plus largement, l’économie qui en découle. 

 

Il est évident qu’à plus long terme, nous pourrions envisager l’interdiction de ce produit et déclencher un plan national d’aide pour financer l’installation de filets anti-insectes.

Mais aujourd’hui, pour sauver la production 2016 de cerises du Vaucluse, il est primordial que Stéphane Le Foll - Ministre de l'agriculture, accorde à nos producteurs de cerises, cette dérogation.

 

Il en va de la survie de nos agriculteurs et de toute les filières économiques qui en découlent. Affaire à suivre ... !

Les républicains saisissent M. le Préfet de Vaucluse sur l'installation anarchique des caravanes à la gare TGV !

 

Un campement d’une centaine de caravanes s’est installé au nord de la gare TGV en bordure de la voie d’accès principale à la gare. Ils ont, bien sûr, déplacé des blocs de pierre pour accéder au terrain.

 

C’est incontestablement un très beau spectacle pour les touristes qui partent ou arrivent à la gare TGV !

 

Pouvez-vous actionner, rapidement, les mesures d’expulsion qui s’imposent ?

Les républicains se MOBILISENT pour la tranche 2 de la liaison Est-ouest d'avignon (appelée "LEO")

 

Toutes les études de trafic démontrent que seule la tranche 2 de la LEO dans sa globalité serait utile à Avignon et son agglomération !

 

Alain Dufaut - Sénateur de Vaucluse, Bernard Reynes – Député-Maire de Châteaurenard & Jean-Marc Roubaud – Président du Grand Avignon se mobilisent et demandent la modification de la partie « infra » du contrat de plan Etat-Région (CPER), signé fin mai, pour y introduire la réalisation de la tranche 2 de la LEO dans sa globalité (carrefour de Barbentane à l’Ouest au carrefour de l’Amandier à l’Est). 

 

Ils ont sollicité un RDV avec Christian Estrosi - Président de la Région PACA afin d'évoquer, avec lui, ce sujet majeur pour le devenir du Grand Avignon, du Vaucluse, de Terre de Provence Agglomération ainsi que du pays d'Arles. A suivre ... 

Les républicains saisissent M. le Préfet de Vaucluse sur l'installation anarchique des caravanes sur le territoire du Grand Avignon - La Cristole, la Barthelasse, courtine ....

 

Des caravanes sont stationnées, depuis des mois, au milieu de la zone d’activité de La Cristole sur le parking de l’ancien magasin « Mobilier de France » ; d’autres, rattachées à un cirque, sont installées à proximité de l’aéroport sur des terrains privés en face du restaurant « Courte Paille » avec des animaux de cirque dispersés sur des terrains à proximité du restaurant « Le Paradou ».

Je ne suis pas sans ignorer que le Grand Avignon n’a toujours pas tranché pour l’emplacement de l’aire de grand passage mais, de tels abus, qui se réitèrent tous les mois sont intolérables pour les commerçants pénalisés dans la fréquentation de leur établissement et donc, dans leur chiffre d’affaire.

Dans ce domaine aussi, la carence de poursuite et l’interdiction

de stationnement sont incompréhensibles aux yeux des citoyens

de base qui ont le sentiment que certains ne respectent pas les

règles élémentaires de la propriété privée et que l’Etat de droit

est absent.

 

Est-il possible de donner des directives pour faire évacuer

ces caravanes dans les plus brefs délais ? 

Les Républicains défendent les agriculteurs !

 

Alain Dufaut attire l’attention de M. le ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, porte-parole du Gouvernement sur la situation dramatique que connaissent les producteurs de fruits et légumes depuis plusieurs années.

En effet, l'agriculture souffre depuis une quinzaine d'années du fait des affres du climat et de l'effondrement des cours. Cela engendre beaucoup de souffrances, tant d'un point de vue physique que psychologique, mais encore d'un point de vue financier. Les éleveurs ont été entendus récemment par le ministère. Aussi, les producteurs de fruits et légumes, très nombreux en France, et dans le sud, en particulier, demandent à bénéficier également de mesures en leur faveur, à l'instar des mesures accordées à leurs collègues éleveurs. Il lui demande quelles mesures le Gouvernement entend prendre en faveur de ce secteur d'activités, pan très important de nos économies locales. 



 

Retrouvez la réponse de M. le ministre en cliquant sur ce lien 

 

 

Les républicains défendent le festival d'Avignon !

 

M. Alain Dufaut. Ma question s'adresse à Mme la ministre de la culture et de la communication. 
À l'occasion d'un colloque au dernier Festival de Cannes, le 17 mai dernier, le Premier ministre a estimé que la baisse du budget de la culture au cours des deux premières années du mandat de François Hollande était un « signe négatif ». Madame la ministre, le lendemain sur France Info, votre prédécesseur, Mme Aurélie Filipetti, n'a pas manqué de commenter cette réaction de Manuel Valls en précisant : « Je me suis battue pendant deux ans pour lutter contre cette baisse. Je n'ai pas du tout été écoutée. Une baisse de 6 % sur deux ans, c'était du jamais vu, même sous la droite ! ». (Exclamations sur les travées du groupe Les Républicains.) 
M. Daniel Raoul. C'est dire ! (Sourires sur les travées du groupe socialiste et républicain.) 
M. Alain Dufaut. Même si la remarque du Premier ministre peut paraître désobligeante à l'égard de son prédécesseur à Matignon, il n'empêche que les réductions drastiques du budget culturel, conjuguées aux réductions des dotations de l'État aux collectivités territoriales, rendent l'équation budgétaire culturelle totalement insoluble pour les élus locaux. 
Force est de constater, sur le terrain, que l'austérité est de rigueur dans le domaine culturel et qu'elle signe le décès des festivals, adossés désormais aux seules subventions municipales. 
Prenons l'exemple de mon département, où Olivier Py, directeur du festival d'Avignon, qui débute samedi prochain, vient de raccourcir de deux jours la durée du festival, car la subvention municipale a été réduite de 500 000 euros par le maire socialiste d'Avignon. (Exclamations sur les travées du groupe Les Républicains.) 
M. Christian Cambon. Voilà ! 
M. Alain Dufaut. Je reconnais néanmoins qu'il ne pouvait pas faire autrement. (Nouvelles exclamations sur les mêmes travées.) 
M. Christian Cambon. Très bien ! 
M. Alain Dufaut. Vous le savez, madame la ministre, quelque 2 000 festivals sont organisés chaque année en France, et malgré l'appel que vous avez récemment lancé aux collectivités locales, vous ne pouvez pas exiger que celles-ci stabilisent leurs financements culturels, car elles se trouvent confrontées à des choix budgétaires très difficiles. 
En effet, eu égard au contexte financier contraint, les élus locaux sont dans l'obligation de procéder à un tour de vis sur les subventions accordées aux associations à caractère culturel, en particulier, pour les festivals de nos départements. 
Aussi, madame la ministre, à l'heure où, plus que jamais – j'y insiste –, notre pays a un besoin évident de culture, quelles démarches comptez-vous entreprendre pour sauver ces festivals de province, qu'ils soient théâtraux ou musicaux, qui, jusqu'à ce jour, trouvaient la majorité de leur financement à hauteur de 70 % environ auprès des collectivités territoriales ? 

 

Retrouvez la réponse de Mme le Ministre en cliquant sur ce lien 

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Les républicains défendent nos platanes

 

M. Alain Dufaut attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie sur l'abattage des platanes dans le Sud de la France et plus particulièrement en Avignon. 
Sept platanes du centre-ville d'Avignon ont été récemment touchés par la terrible maladie du chancre coloré entraînant l'abattage de 53 platanes sains situés dans le périmètre décimant ainsi une voûte végétale du centre-ville d'Avignon très appréciée des habitants et des touristes. 
Nous savons que l'abattage n'empêche pas la progression de ce terrible champignon contre lequel nous n'avons aujourd'hui aucun moyen de lutter, si ce n'est limiter sa progression par l'abattage systématique des platanes dans un large périmètre. 
Plusieurs projets d'expérimentation sont aujourd'hui à l'étude comme les très prometteurs projets d'injection de fongicides directement dans le tronc. Un protocole est en cours d'examen par l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail, l'ANSES mais les conclusions de l'agence se font attendre afin d'autoriser la mise en œuvre de ce protocole. 
Chaque année, des centaines de platanes sont abattus, il s'agit de trouver, au plus vite, une alternative à ce qui est aujourd'hui la solution radicale, l'abattage systématique des platanes malades et sains traumatisantes pour les riverains. Ces abattages défigurent nos centres-villes. 
Il lui demande donc de bien vouloir faire un point précis sur ce protocole qui est en cours d'examen par l'ANSES et de lui préciser, compte tenu de l'urgence qu'il y a à agir, sous quels délais elles pourront être mises en œuvre. 

 

Retrouvez la réponse de Mme la ministre en cliquant sur ce lien.

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